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Mes prises de conscience
déterminantes

Quelques unes qui ont impulsé des changements nets dans ma vie.

A lire dans l'ordre, ou pas, c'est vous qui savez.

> Une rupture avec l'homme qui partage toujours ma vie aujourd'hui. <

 

C'était dans nos débuts. 

Il me quittait.

Le gouffre.

L'abîme.

Je m'étais perdue

dans les quelques mois de relation que nous avions vécu.

Ma soeur aînée m'a beaucoup aidée,

en parlant peu mais bien.

J'ouvris la porte du prendre soin de moi.

Tenter de retrouver qui j'étais, ce que j'aimais, ce qui m'animait.

Je compris que dans mes relations je devais me préserver.

Ecouter ce qui était juste pour moi.

Etre en équilibre pour pouvoir avancer avec l'autre dans une relation saine.

Je commençais donc mes premiers pas dans cette direction là.

Un mois plus tard, nous nous retrouvions.

_

> Une séance d'hypnose confrontante, pour mon plus grand bien. <

Plus tard, alors que je vivais des jeux de séduction à répétition,

je sentais que cela m'émoustillait le temps d'un instant puis plus rien.

J'ai répété ce schéma jusqu'au jour où j'en ai été fatiguée. 

Cela ne me nourrissait pas, 

cela me détruisait,

tranquillement mais sûrement.

Je pris rendez-vous avec une hypnothérapeute, Valérie Haize.

Je me souviens qu'elle m'avait demandé :

Comment vous décrireriez-vous ?

Spontanément, j'ai pensé à tout ce à quoi je m'identifiais dans ma vie à l'époque.

Badminton, école d'agriculture, aime ceci, fait cela...

C'était confortable, connu, rassurant.

Et puis, à ma grande surprise,

tout s'est effacé avant que je n'ai eu le temps de parler.

Pour qu'en énorme, dans ma tête, s'affiche le mot

TRISTE.

J'étais profondément triste !

A ce moment précis, je me voyais enfin comme j'étais.

J'arrêtais les mensonges,

j'arrêtais de cacher sous le tapis ce que j'avais la trouille de voir.

Dès lors, j'ai levé mon propre voile,

j'ai pu ouvrir la porte du changement.

J'ai commencé à m'aimer,

chaque jour un peu plus.

Et je continue de le faire aujourd'hui,

je crois que c'est le travail d'une vie.

_

> Un spectacle culturel qui évoquait le Mouvement de vie. <

J'allais, avec mon compagnon et notre premier fils, 

assister à un spectacle culturel donné par la crèche.

Deux danseuses, un chanteur et musicien.

Une scène ronde au milieu du jardin.

 

Le spectacle évoquait

le Mouvement de vie.

Celui qui est dans tout être vivant.

Celui qui nous pousse à agir, à ralentir, à ne rien faire.

Chacun.e à son propre rythme.

Ce mouvement qui ne demande qu'à être exprimer.

Les enfants étaient invités à bouger exactement comme ils en avaient envie.

Les parents, à observer.

J'ai pleuré, pleuré, tant pleuré.

Tout mon corps me réclamait qu'il était grand temps

d'écouter mon mouvement de vie.

Très vite, j'ai découvert le Qoya,

la pratique de mouvement parfaite pour moi.

Le Qoya m'a invitée à écouter mon intuition,

à faire confiance aux autres, autant qu'à moi-même,

à me relier à plus grand que moi,

à donner et recevoir.

Tout cela à travers le mouvement, en musique et en partage.

Cela a été si nourrissant de le recevoir que je me suis formée pour le donner.

Aujourd'hui, je continue de recevoir cette médecine par le mouvement,

autant en prenant des cours qu'en en donnant.

_

> Des moments privilégiés avec certains arbres. <

Au gré de mes immersions dans mon jardin ou dans la forêt,

je me laisse de plus en plus guidée par mes sens plutôt que par un chemin tracé.

Lors de mes expériences,

j'ai pu avoir des moments privilégiés avec certains arbres.

Mes sensations lors de ces échanges ont été si puissantes

que cela m'a confirmée la nécessité de nous relier aux arbres, 

au monde végétal,

à la Nature,

pour nous relier à nous-même 

et plus largement à la vie.

Ces moments nourrissent en profondeur ma reconnaissance d'être vivante

et de pouvoir expérimenter la vie chaque jour.

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